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Divalto weavy nous permet d’être plus rapides, d’avoir une meilleure satisfaction client et de faire moins d’erreurs.

Logo Divalto

Jean-Marie LAVIGNE

Directeur de gestion des abonnements

Chiffres clés

18

Titres de presse composant le groupe NGPA.

250

Collaborateurs.

200 000

Agriculteurs.

contexte

Problématique

Très active sur les salons, l’équipe de La France Agricole avait pour habitude de saisir les commandes sur des bons papier à la main. Une technique qui montra rapidement de nombreuses faiblesses en termes de risque d’erreur, d’image et de relation client.

Bénéfice

Avec divalto weavy, la société dit adieu au bon de commandes papier ! Le risque d’erreurs a été drastiquement réduit, l’image de l’entreprise modernisée et l’équipe, qui gagne du temps, peut enfin se concentrer sur la relation client.

Solution utilisée

La France Agricole et divalto weavy

La société était en quête d’un outil de prise de commandes adapté à un usage sur salon.

En réponse à ce besoin, elle a choisi le CRM Divalto weavy et son intégrateur Isagri.

Solution utilisée

  • Divalto weavy

Appareil 

  • Tablettes

ERP 

  • Magellan (Eidiis)
salons

Divalto weavy sur les salons !

Aujourd’hui, lorsqu’on se rend sur un stand de La France Agricole sur un salon, toute l’équipe est équipée de tablettes avec Divalto weavy ! Avec un simple nom et code postal, ils sont en mesure de vous retrouver. La personne dispose de toutes les informations utiles vous concernant : si vous êtes abonné ou non, à quel magazine. Si vous souhaitez vous abonner ou vous réabonner, c’est possible. Vos informations (numéro de portable, adresse mail et postale), la durée de votre engagement, le moyen de paiement et quelques éléments de qualification sont enregistrés. Le bon de commande est imprimé et vous pouvez le signer directement.

évolution

Vers une nouvelle solution

“Une solution numérique pour améliorer la relation client et avoir une meilleure image“, c’était la volonté des chefs de produit et de Jean-Marie LAVIGNE, Directeur de la gestion des abonnements, qui ont initié le projet en 2017.
2 possibilités ont été étudiées par La France Agricole : développer en interne un outil spécifique ou passer par un prestataire externe. La première solution a vite été abandonnée car trop longue à mettre en œuvre et à maintenir.
La France agricole choisi donc de travailler avec un partenaire externe : Isagri. Celui-ci leur présenta le CRM Divalto weavy. Fort de ses capacités de personnalisation et de sa richesse fonctionnelle, Divalto weavy était en mesure de répondre à leurs besoins spécifiques et de s’adapter finement aux contraintes particulières de la prise de commandes sur salons.

 

Isagri, une méthode projet éprouvée

“Nous avons constitué un groupe de travail composé d’une cheffe de projet, du responsable salons, de la responsable communication, de moi-même et d’un chef de projet côté Isagri”, explique Jean-Marie LAVIGNE. Il poursuit “après la définition précise des besoins et la validation du cahier des charges, Isagri nous a fait une proposition validée après tests en réel sur un salon“.
C’est l’outil de conception, Studio, soit le socle technologique du CRM, qui a permis de définir les écrans. Conçu pour le développement et la personnalisation, Isagri, leader des solutions informatiques pour le monde agricole, a personnalisé l’outil sur mesure pour La France Agricole.
“Isagri nous a particulièrement bien accompagné dans ce changement. Ils ont été à l’écoute et ont surtout une méthode projet très efficace“, confie le Directeur de gestion des abonnements.

 

Une solution accessible

Au total, une dizaine de salariés utilisent la solution lors des salons. “La conduite du changement s’est très bien passée. Notre base client est assainie par rapport à ce que l’on avait auparavant : plus de problème de non-lisibilité ou de fautes d’orthographes. L’évolution vers le numérique a été très bien perçue“, reconnaît Jean-Marie LAVIGNE.
Avant de passer au digital, les commandes étaient prises sur des bons papiers et les notes prises manuellement. Pour un secteur en plein renouveau technologique comme celui de la presse, ce changement était indispensable : en termes d’image et de relation client.