La chronique « À l’écoute des entreprises » vous connaissez ? Divalto y a participé ! La voix de Divalto a résonné pendant un mois à travers des interviews du Directeur Général et de la Directrice Marketing et Communication.
Saviez-vous que les processus d’écriture littéraire et de programmation sont proches ? Si on réfléchit bien, c’est assez logique. Tous deux utilisent un langage et vous permettent de retranscrire une idée.
Au début, vous écrivez quelque chose de simple. Puis, de fils en aiguilles, la structure se met en place pour donner un sens à l’écriture. Cette architecture permet de créer nos objets du quotidien : télévision, smartphone, ordinateur, robots ménagers…
Et oui, ils résultent tous du code informatique. Alors, disons-le, un code bien écrit transforme notre quotidien. Et ça, c’est beau !
ERP
04 mars 2022 –
4 mn de lecture
Chez Divalto, nous avons pas mal de développeurs (vous devez vous en douter). Pour mieux comprendre ce que représente le code pour eux, nous sommes allés à leur rencontre.
Premier interrogé : Benjamin LEBEAU. Il a pris sa plus belle plume pour nous expliquer l’origine de sa passion :
« Tout commença en 1998. J’avais 11 ans quand j’ai reçu mon premier ordinateur. Quelques mois plus tard, j’ai eu l’impression d’être trilingue. La programmation était devenue une vraie passion. Cette discipline m’a forgé, discipliné, fasciné… Tous ces langages sont d’une richesse infinie ; tout se mélange mais rien ne se ressemble. On dit qu’une langue est vivante, mais ce n’est rien comparé aux langages informatiques. »
Ce métier nécessite évidemment de travailler en équipe. La curiosité et l’ouverture d’esprit sont très importants pour délivrer un produit fonctionnel et esthétique.
Niven CHENGEBROYEN, nous a aussi témoigné son intérêt pour le code :
« Je n’ai pas commencé aussi tôt que Benjamin. Avoir un ordinateur correspondait plutôt à “jouer” au début. Le lycée et l’université ont fini par me mettre au développement informatique.
Coder, c’est écrire un programme pour répondre à une problématique concrète. On compose des phrases, elles-mêmes composées de mots clés et de ponctuations, qui nous permettent, rapidement, d’atteindre notre objectif. Et sans avoir à le prononcer avec un mauvais accent.
Puis, une fois que la première solution a été trouvée, on reprend le programme originel pour trouver la meilleure syntaxe. Celle qui répond à des soucis de vitesse, de consommation mémoire, et de stockage. Un peu comme un texte que l’on reprendrait des dizaines de fois pour trouver la formulation parfaite.
Chaque langage ayant ses propres spécificités, il arrive que l’on utilise des façons d’écrire un peu plus singulières, mais qui exploitent au mieux les capacités dudit langage et bénéficient au maximum au programme final. »
Finalement, que retenir de ces témoignages ? Un seul mot : la passion. Disons-le, nos développeurs sont des artistes (n’ayons pas peur des mots !) qui mettent leur passion au service de l’édition de logiciels.
Leur objectif ? Créer un produit fonctionnel, esthétique et qui accompagne le client au quotidien. Un peu de reconnaissance envers leur travail ne fait pas de mal. 🥰
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Depuis quelques années, l’industrie vit une nouvelle révolution portée par des technologies de rupture comme l’Internet des objets (IoT), l’intelligence artificielle (IA), le cloud computing ou encore la réalité augmentée (AR).